Mots d’encouragement de Daisaku Ikeda, président de la SGI parus dans le Seikyo Shimbun, quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon, le 22 octobre 2011.

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Shuddhipanthaka ne parvenait toujours pas, au bout de trois ans, à mémoriser un enseignement de [seulement] quatorze caractères, et il atteignit quand même l’Éveil. Alors que Devadatta, qui connaissait par cœur soixante mille enseignements sacrés, tomba dans l’enfer des souffrances incessantes. Ces exemples illustrent parfaitement la situation du monde en cette époque des Derniers Jours de la Loi. N’imaginez en aucun cas qu’ils ne concernent que les autres et non vous-même.
La prière pour la pluie des trois maîtres du Tripitaka (L&T-VI, 133)

Dans le monde du bouddhisme, ceux qui sont honnêtes et sincères finissent indubitablement par gagner. Il ne fait aucun doute que ceux qui agissent pour kosen rufu avec dévouement, persévérance et sérieux tout au long de leur vie deviennent heureux. Les vies victorieuses de nos nobles camarades en témoignent avec force. À l’inverse, les personnes arrogantes avec de grandes responsabilités qui oublient leur dette de reconnaissance, préoccupées seulement par leur renommée et leur richesse, suivent une voie qui conduit au malheur en accord avec la stricte loi de cause et d’effet.

La clé pour manifester son état de bouddha en cette vie se trouve uniquement dans la foi.

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