Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Randoll Encarnacion, un ingénieur en informatique aux Philippines, s'est inspiré du bouddhisme pour sortir de la pauvreté et donner de l’espoir aux autres.
Dans cette nouvelle vidéo tirée de la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI, Spencer West, atteint d'un handicap congénital, témoigne de son combat pour trouver sa place dans la société. A travers son activité de conférencier à Toronto, il encourage de nombreuses personnes à trouver un sens à leur vie en s'engageant pour les autres.
Ce court métrage tiré de la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI présente Ana Terra, orthophoniste à Sao Paulo. Elle encourage de jeunes artistes à se développer à travers des ateliers de rap.
Dixième film de la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Sung Hoon Kim, en Corée, y relate comment il a trouvé le courage de persévérer en tant que comédien, en s'accrochant à son rêve malgré les revers. Il parle de l'importance de ne jamais être vaincu intérieurement.
Ce huitième film de la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI nous amène à Taiwan, dans le district de Madou. Lee Chia Han y dirige une exploitation de pamplemousses, en se fondant sur des méthodes de production respectueuses de l'environnement.
Dans ce septième film de la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI, Claire témoigne de sa passion pour son métier et des liens positifs qu'il lui permet de créer autour d'elle.
Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Emi Okada vit à Kobe, au Japon où, en tant que maquilleuse, elle aide des femmes à retrouver une image positive d'elles-mêmes.
Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Nidhi Oza vit à Mumbai, en Inde. Elle raconte comment elle s'est tournée vers l'enseignement afin de permettre aux enfants de prendre confiance en eux à travers la danse.
Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Lesley Butler vit à Londres. Elle crée des ateliers de marionnettes pour les enfants avec des objets du quotidien.
Avec la réhabilitation du Kantha en Inde, un art traditionnel de la broderie et un précieux savoir-faire ont pu être préservés. Au Bengale et au Bangladesh, 1300 femmes ont ainsi pu obtenir de meilleures conditions de vie, mais aussi une vraie reconnaissance au sein de leur communauté et de leur famille.