Lettre d’Akpéné Bernard co-présidente du comité européen de la jeunesse du mouvement Soka
Daisaku Ikeda nous a quittés il y a un an et en ce mois de novembre, nous ses disciples, rugissons plus fort que jamais pour perpétuer son esprit et son vœu.
Son héritage est tellement précieux et extraordinaire que nous continuerons à œuvrer d’un pas déterminé pour déraciner le mal qui consume notre société.
Il écrit : « Le socle spirituel commun sur lequel l’humanité devrait se fonder, c’est la reconnaissance mutuelle que, en dépit des différences de nationalité, de religion ou d’ethnie, nous sommes tous des compagnons unis par notre humanité commune et vivant ensemble sur la même planète. C’est là un idéal qui consiste à considérer la vie comme infiniment précieuse et à refuser que des êtres humains soient utilisés comme des pions, pour quelque raison que ce soit. De plus, cette croyance spirituelle commune doit garantir à tous le droit au bonheur. »1
Chaque action, si petite soit-elle, contribue soit à la paix, soit à la destruction. Quel choix faisons-nous ? Avoir la conviction que seule la paix nous permettra de vivre en harmonie avec les autres et persévérer dans cette direction grâce à nos dialogues d’espoir dans notre famille et nos quartiers est essentiel.
Les jeunes ont besoin que nous soyons une source d’inspiration pour leur vie. Ils ont besoin qu’on leur permette de prendre conscience que leur mission pour transformer la société ne dépend de personne d’autre que d’eux-mêmes. Permettons-leur de cultiver l’espoir en apaisant leur cœur et leur esprit à travers des actions emplies d’humanisme et de bienveillance. C’est dans cet esprit que la jeunesse de notre mouvement en France s’est lancé le défi de réunir 1 000 jeunes au Centre bouddhique Soka européen de Trets pour échanger, danser et chanter cette paix pour l’humanité tout en étant dans l’action.
Réaliser un pas de plus pour la paix, c’est dire bonjour à son voisin, faire un geste de solidarité envers ces collègues, dire « Merci » à sa mère, « Je t’aime » à son enfant…
La paix viendra de notre propre conviction et de notre audace à mener des actions concrètes pour la rendre possible. Possible par notre bienveillance, notre compassion, notre cœur et notre humanisme. Humanisme porteur d’un espoir infini, d’amour envers son prochain pour créer un monde en paix. Un pas de plus pour l’humanité, pour l’avenir qui se construit dès maintenant !
« La victoire du disciple est la victoire du maître. »2 Montrons au monde, en commençant par notre entourage, la grandeur de notre maître à travers nos magnifiques victoires, et l’esprit de notre reconnaissance éternelle !
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