Thème pour la réunion du mois de janvier 2012. En 2012, lors des réunions de discussion, nous étudierons des extraits d’une nouvelle série de commentaires de Daisaku Ikeda, « Vivre les écrits de Nichiren Daishonin », qui paraît dans le Seikyo Shimbun.

Le bouddhisme de Nichiren Daishonin est une religion qui accorde une grande importance au dialogue. Depuis l’époque du bouddha Shakyamuni, poser des questions et dialoguer librement est une tradition essentielle du bouddhisme. Cette tradition se perpétue dans nos réunions de discussion, lieux où nous pouvons dialoguer avec ouverture, sur un plan d’égalité, et où nous pouvons faire jaillir l’espoir grâce à des échanges sincères.

Le thème proposé pour le mois de janvier est « la prière ». Ci-dessous, deux commentaires de Daisaku Ikeda illustrant ce thème.

Le palais de notre vie est indestructible1

« Quand on prend conscience du véhicule du Bouddha [la Loi merveilleuse] dans sa propre vie, il est possible d’accéder à son propre palais [son propre état de bouddha]. Réciter Nam-myoho-renge-kyo signifie accéder à son propre palais. » (OTT, 209)

Nous, qui récitons Nam-myoho-renge-kyo, sommes bouddha. Un palais magnifique existe dans les profondeurs de notre être, un palais que personne ne peut détruire et que rien ne peut profaner.

Faire briller notre vie et agir pour créer de merveilleux cercles de paix et de bonheur dans notre environnement, tel est l’esprit invincible d’établir l’enseignement correct pour la paix dans le pays.

Ouvrir la porte du palais de notre vie 2

Dans le Recueil des enseignements oraux, Nichiren Daishonin dit : « Réciter Nam-myoho-renge-kyo consiste à entrer dans le palais de notre propre vie.  » (GZ, 787)

Tout le monde possède un vaste palais sans limite à l’intérieur de soi, un « hall de la gloire » personnel qui resplendit des trésors infinis de l’univers. Quand nous ouvrons la porte de ce palais, partout où nous sommes –  à ce moment même – nous pouvons trouver le bonheur. Par conséquent, il n’y a rien à craindre, et aucune raison d’envier les autres pour quelque raison que ce soit (...)

Cela n’a rien à voir avec l’argent, la position sociale, l’éducation ou la gloire. Une personne dont la foi est sincère peut révéler l’état de bouddha telle qu’elle est. (...)

Personne ne mène une vie plus noble que vous qui vous consacrez à l’oeuvre de kosen rufu. S’il vous plaît, lancez-vous des défis avec fierté et confiance partout où vous êtes. Ceux qui sont forts sont ceux qui prennent la détermination : « Voilà le chemin que je veux suivre! Regardez combien ma vie a changé !  » Personne ne peut les égaler.

Le bonheur se trouve en soi-même.

En ce début d’année 2012, « Année de l’essor d’une SGI jeune », prenons un nouveau départ sur la base du Gosho, ouvrons la porte du palais de notre vie grâce à la prière, et partageons avec joie nos expériences ! Bonnes réunions !

Notes

  • 1. Vivre les écrits de Nichiren Daishonin, extrait paru dans le Seikyo Shimbun (quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon) du 24 mars 2011.
  • 2. D&E-mai 1999, 22-24.

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