Mots d’encouragement de Daisaku Ikeda, président de la SGI parus dans le Seikyo Shimbun, quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon, le 28 avril 2011.
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J’ai considéré comme essentiel de bien comprendre la dette que j’avais envers les autres, et me suis fait un devoir de m’acquitter de ces dettes de reconnaissance. En ce monde, nous avons quatre dettes de reconnaissance1. Celui qui le comprend mérite le nom d’être humain, celui qui ne le comprend pas n’est rien d’autre qu’une bête sauvage.
Conversation entre un sage et un ignorant (L&T-V, 108)
Le bouddhisme de Nichiren enseigne la voie correcte pour un être humain de reconnaître ses dettes de reconnaissance et d’oeuvrer à s’en acquitter. Le deuxième président de la Soka Gakkai, Josei Toda, nous a également soutenu afin que nous puissions devenir des personnes de premier ordre et des citoyens remarquables. Jeunes gens, prenez soin de développer vos capacités authentiques ! Puissiez-vous toujours avancer dans la vie avec un sentiment de reconnaissance et faire preuve de sincérité et de respect dans vos relations avec les autres.
Note
- 1. ↑ Quatre dettes de reconnaissance : Il s’agit de la dette à l’égard de ses parents, de tous les êtres humains, de son souverain et des Trois Trésors du bouddhisme – le Bouddha, la Loi (les enseignements du Bouddha) et l’Ordre bouddhique (la communauté des croyants). La définition des Quatre Dettes de reconnaissance varie parfois selon les sources.
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