Mots d’encouragement de Daisaku Ikeda, président de la SGI parus dans le Seikyo Shimbun, quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon, le 8 juin 2011.

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Le Bouddha, étant véritablement respectable, ne mesure pas la sincérité en fonction de l’importance des dons. Par le passé, un garçonnet, du nom de Tokusho doji, fit don d’un pâté d’argile au Bouddha et renaquit sous la forme du roi Ashoka qui régna sur la totalité du Jambudjipa [le monde entier]. Une femme pauvre fit couper sa chevelure et l’échangea contre de l’huile [pour en faire don au Bouddha], et même les vents forts venus du mont Sumeru ne purent éteindre la lampe nourrie par cette huile.
Réponse à la dame Onichi (L&T-VII, 327)

Même les vents les plus violents ne purent éteindre la lampe à huile alimentée par l’offrande sincère de la femme pauvre. De la même manière, ce sont nos efforts dédiés, alimentés par notre sincère désir de rendre chaque personne heureuse, qui ouvrent la voie vers la victoire éternelle.

Aussi violents que puissent être les vents de l’adversité, ils ne peuvent éteindre la flamme de la bonne fortune que nous avons allumée dans notre vie. Tout comme la flamme de la noble Loi bouddhique que nous avons allumée au cœur de la société ne peut jamais s’éteindre.

Lançons un ban pour les femmes du mouvement Soka ! J’aimerais exprimer ma profonde gratitude envers chacune d’entre vous.1

Note

  • 1. Le mois de juin est celui des femmes du mouvement Soka au Japon, le 10 juin étant le Jour du groupe des femmes. Cette année marque le soixantième anniversaire.

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