Mots d’encouragement de Daisaku Ikeda, président de la Soka Gakkai Internationale (SGI), parus dans le Seikyo Shimbun, quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon, le 9 décembre 2011.

Vivre les écrits de Nichiren Daishonin

Au cours de ces vingt-huit dernières années, depuis la cinquième année de l’ère Kencho [1253], tige céleste mizunoto-ushi, le vingt-huitième jour du quatrième mois [28 avril]1, jusqu’à ce jour, le douzième mois de la troisième année de l’ère Koan [décembre 1280], tige céleste kanoe-tatsu, moi, Nichiren, n’ai rien fait d’autre que d’œuvrer uniquement à faire prononcer les cinq ou sept caractères de Myoho-renge-kyo2 à tous les êtres vivants du Japon.
Remontrance à Hachiman (WND-II, 931)

Nichiren Daishonin a persévéré dans sa lutte altruiste pour transmettre la Loi bouddhique, mu par le seul désir de voir les autres devenir heureux. Nous, qui avons hérité ce noble rôle, sommes tous de respectueux bodhisattvas sortis de la terre et émissaires du Bouddha des Derniers Jours de la Loi dotés de « bonnes racines de [nos] vies antérieures ». (Cf. SdL-XXVII, 296)

Aujourd’hui, d’innombrables jeunes et courageux bodhisattvas sortis de la terre émergent de terre, l’un après l’autre. Tandis que nous continuons à faire connaître la Loi bouddhique en engageant le dialogue avec toujours plus de personnes, escaladons de nouveaux sommets de kosen rufu !

Notes

  • 1. Référence au jour où Nichiren Daishonin prononce l’enseignement de Nam-myoho-renge-kyo pour la première fois.
  • 2. Myoho-renge-kyo s’écrit avec cinq caractères chinois, tandis que Nam-myoho-renge-kyo s’écrit avec sept (nam ou namu est composé de deux caractères). Nichiren utilise souvent Myoho-renge-kyo comme synonyme de Nam-myoho-renge-kyo.

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