Mots d’encouragement de Daisaku Ikeda, président de la Soka Gakkai Internationale (SGI), parus dans le Seikyo Shimbun, quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon, le 11 avril 2012.

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Il n’y a rien d’extraordinaire dans ce que nous appelons la foi. Comme une femme chérit son mari, comme un homme donnerait sa vie pour sa femme, comme des parents n’abandonneraient jamais leurs enfants, ou comme un enfant refuserait de quitter sa mère, nous devrions accorder notre confiance au Sûtra du Lotus, à Shakyamuni, à Taho et à tous les bouddhas et bodhisattvas des Dix Directions, ainsi qu’aux cieux du ciel et aux divinités bienveillantes, et réciter Nam-myoho-renge-kyo.
Le sens de la foi (L&T-V, 335)

La foi est une des expressions les plus naturelles du cœur humain. Nous pouvons prier face au Gohonzon simplement avec un esprit de dévouement semblable à celui de chérir sa famille ou, pour un parent, de vouloir protéger son enfant.

Les jeunes mères du mouvement Soka1 agissent avec courage au coeur des réalités souvent éprouvantes de la vie. C’est notre environnement immédiat, notre vie quotidienne qui constitue la scène sur laquelle nous accomplissons notre révolution humaine.

Aujourd’hui encore, j’espère que vous brillerez avec sagesse et joie tel un éclatant soleil de bonheur !

Note

  • 1. Le 11 avril est le Jour des jeunes mères du mouvement Soka au Japon. Au sein de ce groupe, les mères qui élèvent leurs jeunes enfants s’apportent mutuellement soutien et encouragements.

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