Mots d’encouragement de Daisaku Ikeda, président de la Soka Gakkai Internationale (SGI), parus dans le Seikyo Shimbun, quotidien affilié au mouvement bouddhiste Soka au Japon, le 4 novembre 2012.
Je prie avant tout pour guider et diriger le souverain et les autres personnes qui m’ont persécuté. Je parlerai au Bouddha de tous les disciples qui m’ont aidé et, avant de mourir, je transférerai les grands bienfaits dérivant de ma pratique à mes parents qui m’ont donné la vie.
Sur les prophéties du Bouddha concernant l’avenir (Écrits, 406)
Nichiren Daishonin a écrit ces mots en exil sur l’île de Sado. Même confronté à des situations critiques pour sa vie, son cœur était empli de compassion et de souci pour l’humanité et au-delà, jusqu’à contenir le monde entier. Tel était l’immense état de vie du Bouddha de la période de la Fin de la Loi. En tant que ses disciples, il est important de ne jamais être vaincus intérieurement, quelles que soient nos conditions de vie. Même dans les moments les plus éprouvants et difficiles, continuons à réciter Nam-myoho-renge-kyo et à réaliser kosen rufu. Les bienfaits infinis que nous accumulons de la sorte s’étendent immanquablement à nos parents et à tous ceux avec qui nous partageons un lien. Nous pouvons également guider notre environnement et la société dans la direction la plus positive.