 
        
        Siddharta Gautama, dit Shakyamuni, vécut dans le nord de l’Inde il y a environ 2 500 ans. Héritier des Shakya dont le royaume se trouvait sur les contreforts de l’Himalaya, il renonça à sa vie princière pour rechercher une solution aux souffrances des êtres humains.
Certains considèrent la religion comme appartenant à un monde à part, en dehors des réalités quotidiennes. Ils établissent une distinction entre leur vie spirituelle et les nécessités de la vie courante. Or le bouddhisme de Nichiren propose une toute autre approche...
Dans quelles circonstances le Sûtra du Lotus est-il apparu en Occident ? Le Saddharmapundarîka sutra fut traduit pour la première fois dans une langue moderne par le linguiste et indianiste français Eugène Burnouf (1801-1852). Cette entreprise de traduction a initié le début des études bouddhiques savantes.
Au cours de ces dix dernières années, je ne saurais dire combien de fois, en évoquant les enseignements de la SGI à des amis appartenant à d’autres obédiences bouddhiques, je me suis entendu répondre qu’il ne s’agissait pas vraiment de bouddhisme...
 
        
        Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Lesley Butler vit à Londres. Elle crée des ateliers de marionnettes pour les enfants avec des objets du quotidien.
L'apparition des bodhisattvas qui sortent de terre, dans le quinzième chapitre du Sûtra du Lotus, suscite la stupeur parmi les proches disciples de Shakyamuni. Comment le Bouddha a-t-il pu convertir autant d'êtres en une vie ? La révélation de l'éternité de la vie du Bouddha, dans le chapitre suivant, lève l'interrogation.
 
        
        Créée au sortir de l'horreur de la Seconde Guerre mondiale, le 24 octobre 1945, l'Organisation des Nations unies (ONU) est un forum mondial permettant le règlement pacifique des différends entre Nations du monde, ainsi que le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Où en est-on aujourd'hui ?
Le Sûtra du Lotus décrit de manière allégorique l’enseignement que le Bouddha a exposé durant les huit dernières années de sa vie, dans lequel il livra l’intégralité de son illumination.1 Dans le 11e chapitre, une magnifique “Tour aux trésors” émerge de terre devant l’assemblée des disciples. Ses dimensions sont vertigineuses, elle est ornée de sept sortes de joyaux et richement décorée. Que représente donc cette tour fabuleuse ?
 
        
        Zhiyi (538-597), également connu sous le nom honorifique posthume de Grand Maître Tiantai, est le troisième patriarche et fondateur1 de l’école chinoise du Tiantai. Figure éminente du bouddhisme chinois, il a grandement contribué à la diffusion et au développement des enseignements bouddhiques, en formalisant, à partir des sources indiennes, un système doctrinal complet et de nouvelles pratiques. Il a établi la supériorité du Sûtra du Lotus sur tous les autres sûtras.
Par Hiroshi Kanno. Extraits traduits de l'essai The Practice of Bodhisattva Never Disparaging in the Lotus Sutra and its Reception in China and Japan, paru dans Journal of oriental studies, vol. 12, 2002.
 
        
        Ancien moine zen et ex-rédacteur en chef du journal bouddhiste américain Tricycle, Clark Strand a étudié de près le mouvement de la Soka Gakkai internationale (SGI) et publié un livre sur le sujet.
 
        
        Connaissez-vous la Communication NonViolente, ou CNV ? Cette méthode de communication vise à créer des relations fondées sur l’empathie, la compassion, la coopération et le respect de soi et des autres. Elle permet de désamorcer les situations de conflits grâce au pouvoir du dialogue.
Le bouddhisme enseigne que toutes les vies sont reliées les unes aux autres. C’est le principe bouddhique d’“origine interdépendante”, ou “production conditionnée”, selon lequel aucun phénomène n’existe isolément des autres. Le terme japonais pour le désigner est engi, qui signifie littéralement “apparaître en relation”.
 
        
        Saichô (767-822), également connu sous le nom honorifique posthume de grand maître Dengyô, est le fondateur de l’école Tendai au Japon.
 
        
        Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Nidhi Oza vit à Mumbai, en Inde. Elle raconte comment elle s'est tournée vers l'enseignement afin de permettre aux enfants de prendre confiance en eux à travers la danse.
 
        
        Votre to-do list de rentrée ressemble à une saga en plusieurs tomes ? Vous croulez sous les tâches et les défis qui s’enchaînent ? Le mois de septembre vient à peine de commencer et vous êtes déjà à bout ? Voici quelques conseils, puisés dans la philosophie bouddhique, pour trouver un nouveau souffle face au stress…
 
        
        La capacité d’un groupe à réaliser ses objectifs repose essentiellement sur sa cohésion, autrement dit, sur la qualité des liens entre les individus qui le composent. Ce principe s’applique également à l’échelle de la société. C’est la clé pour parvenir à la paix.
L’expression « Le bouddhisme est victoire ou défaite » dans le bouddhisme de Nichiren ne renvoie pas à l’image paisible qu’on se fait habituellement du bouddhisme. Une telle notion peut même, de prime abord, paraître comme une invitation au conflit. Pourtant, elle ne décrit absolument pas une confrontation entre individus, mais plutôt le combat intérieur qui se joue dans le cœur de chacun.
Alors que l’humanité est prise dans un engrenage de problèmes globaux et complexes, la possibilité d’une issue favorable semble de plus en plus difficile à croire.
Le bouddhisme, parce qu'il répond aux quatre souffrances fondamentales de l'être humain, est un enseignement universel et transhistorique. Il semble toutefois particulièrement à propos dans notre monde contemporain. La preuve en est l'écho toujours grandissant qu'il rencontre dans nos sociétés depuis les années soixante.