Au début de l’année 2020, le 26 janvier, M. Daisaku Ikeda, président de la SGI, dans sa proposition pour la paix adressée aux Nations-Unies¹, a présenté des engagements pour l’instauration d’une société mondiale durable dans laquelle tout le monde pourra vivre avec dignité et un sentiment de sécurité.

Le premier engagement était celui de ne laisser personne de côté, de ne jamais négliger les personnes qui luttent dans un contexte difficile et que, face aux problèmes mondiaux, nous devons avant tout nous concentrer sur les menaces qui pèsent sur la vie, les moyens de subsistance et la dignité de chaque être humain.

Lorsque la pandémie s’est répandue en mars 2020 et nous a amenés à tous être confinés, le Mouvement Soka de France a cherché comment soutenir concrètement les personnes les plus impactées par la crise sanitaire, sociale et économique.

Parmi les nombreuses associations et fondations engagées auprès des plus défavorisés, notre choix s’est tourné vers la fondation Abbé Pierre. Cette fondation n’a pas de caractère religieux, si ce n’est son nom en hommage à son fondateur. Son délégué général, M. Christophe Robert, nous a réservé un accueil chaleureux. Il a trouvé dans les engagements de Daisaku Ikeda et de notre mouvement pour la paix des valeurs communes.

La fondation Abbé Pierre intervient auprès de 900 associations, en France et dans les pays les plus pauvres ou victimes de catastrophes. Depuis février et parmi leurs nombreuses actions, la Fondation et ses partenaires interviennent également dans le cadre de la guerre en Ukraine.²

Dans le cadre de sa mission d'intérêt général, l'ACSF a décidé de poursuivre cette année son soutien financier à la Fondation Abbé Pierre.