Perspectives
Le bouddhisme souligne l’importance de regarder en face la réalité de la mort. Avec la naissance, la maladie et la vieillesse, la mort est définie comme l’une des quatre souffrances fondamentales que chacun doit affronter.
Avec la réhabilitation du Kantha en Inde, un art traditionnel de la broderie et un précieux savoir-faire ont pu être préservés. Au Bengale et au Bangladesh, 1300 femmes ont ainsi pu obtenir de meilleures conditions de vie, mais aussi une vraie reconnaissance au sein de leur communauté et de leur famille.
Le bouddhisme considère la vie comme une unité du physique et du spirituel. Il considère toutes les choses, matérielles ou spirituelles, visibles ou invisibles, comme des manifestations de la même loi universelle, définie dans la tradition de Nichiren sous le nom de Myoho Renge Kyo. Les aspects physiques et spirituels de notre vie sont totalement inséparables et d’importance égale. Ce principe est contenu dans l’expression japonaise “shikishin funi”.
Théologien catholique et spécialiste du bouddhisme, Dennis Gira est engagé dans le dialogue interreligieux. Il a expérimenté les joies, mais aussi les écueils d’un authentique dialogue. Son dernier livre en témoigne.

Le principe bouddhique de la non-dualité de la vie et de son environnement (jap. : esho funi*) signifie que la vie et son environnement sont inséparables. Autrement dit, bien que nous percevions notre environnement – les choses et les êtres – comme étant séparé de nous, il y a une dimension de notre vie qui ne fait qu’un avec tout ce qui nous entoure. Le bouddhisme enseigne que la vie se manifeste aussi bien dans un sujet vivant que dans son environnement.
L’espèce humaine est, aujourd’hui, confrontée à l’épuisement des ressources terrestres. Pour le géophysicien André Lebeau, la survie de la société humaine passe par une transformation radicale de sa structure et de ses comportements.
Déclarée il y a cent ans, la guerre qu'on avait « der des der » est particulièrement meurtrière. Le conflit s'étend au monde entier. Sa commémoration marque la nécessité d'en transmettre la mémoire, en hommage à ceux qui vécurent cette tragédie et firent le sacrifice de leur vie.
L’enseignement bouddhique des neuf consciences est essentiel pour comprendre parfaitement qui nous sommes et quelle est notre véritable identité. Il nous permet notamment de comprendre comment notre vie se perpétue à travers le cycle des naissances et des morts.
Né à Oslo (Norvège) en 1930, Johan Galtung, sociologue et mathématicien, est considéré comme l’un des pionniers des études modernes sur la paix.
Contrastant avec les religions monothéistes de l’Occident, le bouddhisme offre depuis quelque 2500 ans une voie spirituelle venue d’Orient qui ne suppose ni âme ni Dieu créateur.
Pour beaucoup, le mot “bouddha” évoque l'image d'un être quasi-divin, qui se tient en toute sérénité à distance du monde et de son tumulte. Il a atteint la paix du nirvana, échappant ainsi aux souffrances, désirs et illusions qui affligent le commun des mortels. Cela ne correspond pourtant pas à ce que l'on sait de la vie du Bouddha historique, Shakyamuni...
Le destin existe-t-il ? Pouvons-nous le changer ? Le bouddhisme de Nichiren nous permet de révolutionner notre état de vie intérieur, changer le cours de notre existence et construire un bonheur qu’aucun coup du sort ne peut détruire...
Le bouddhisme tibétain attire nombre d'occidentaux. Parce que la question des liens entre le bouddhisme tibétain et le bouddhisme de Nichiren est régulièrement posée, penchons nous sur cette tradition, son histoire et les éléments qui la rapproche ou la distingue de celle du bouddhisme de Nichiren.
Dans le livre Mon chemin, paru en septembre 2008, l’écrivain et sociologue Edgar Morin se livre à une journaliste, parle de sa vie, de ses passions, de ses combats. Lucide, mais optimiste, il se découvre un homme épris de paix et de cohésion sociale, le tout couronné par une belle humilité.

Comment expliquer que les mêmes circonstances – le même travail, par exemple – peuvent être vécues par telle personne comme une souffrance, par telle autre comme un défi exaltant, et que telle autre encore y trouvera le moyen d'aider et d'encourager son entourage ? Le principe des « dix états » répond à cette question.
Dans les pays latino-américains, où le problème endémique des travailleurs ruraux se complexifie, le Mouvement des travailleurs sans-terre présente un front uni et ne lâche rien dans sa lutte pour la réforme agraire.

L'être humain peut-il se changer lui-même ? Le but du bouddhisme de Nichiren est justement d'opérer une transformation radicale dans les profondeurs de sa propre vie, ou « révolution humaine ». Cette expression, inventée par Josei Toda, deuxième président fondateur de la Soka Gakkai, décrit le processus de changement intérieur enclenché par une personne dès lors qu'elle s'engage sur la voie bouddhique.
Au-delà des documentaires qui alertent sur l’état de l’agriculture mondiale et la destruction de la biodiversité, ce film de Coline Serreau donne la parole à ceux qui inventent des systèmes de production agricole respectueux de la terre.
Le lotus est une plante considérée comme sacrée depuis l'Antiquité en Inde, ainsi que dans de nombreuses autres cultures. La symbolique associée à sa fleur est très riche : sa beauté évoque la fertilité, la prospérité, la longévité, ou encore, du fait que les graines de lotus durent très longtemps, l’éternité de la vie.
La dénomination « art brut » fut inventée en 1944 par l’artiste plasticien Jean Dubuffet1 pour désigner les productions de personnes « indemnes de culture artistique », étrangères « au professionnalisme de l’art ». L’ouvrage Mondes imaginaires présente les oeuvres de ces créateurs autodidactes.