Perspectives
Dans quelles circonstances le Sûtra du Lotus est-il apparu en Occident ? Le Saddharmapundarîka sutra fut traduit pour la première fois dans une langue moderne par le linguiste et indianiste français Eugène Burnouf (1801-1852). Cette entreprise de traduction a initié le début des études bouddhiques savantes.
Au cours de ces dix dernières années, je ne saurais dire combien de fois, en évoquant les enseignements de la SGI à des amis appartenant à d’autres obédiences bouddhiques, je me suis entendu répondre qu’il ne s’agissait pas vraiment de bouddhisme...

Saichô (767-822), également connu sous le nom honorifique posthume de grand maître Dengyô, est le fondateur de l’école Tendai au Japon.

Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Lesley Butler vit à Londres. Elle crée des ateliers de marionnettes pour les enfants avec des objets du quotidien.

Dans son livre Un nouveau droit pour la Terre, pour en finir avec l'écocide, Valérie Cabanes, juriste en droit international spécialisée dans les droits humains, dénonce l'impact néfaste de la technologie sur l'environnement.

Votre to-do list de rentrée ressemble à une saga en plusieurs tomes ? Vous croulez sous les tâches et les défis qui s’enchaînent ? Le mois de septembre vient à peine de commencer et vous êtes déjà à bout ? Voici quelques conseils, puisés dans la philosophie bouddhique, pour trouver un nouveau souffle face au stress…
L’expression « Le bouddhisme est victoire ou défaite » dans le bouddhisme de Nichiren ne renvoie pas à l’image paisible qu’on se fait habituellement du bouddhisme. Une telle notion peut même, de prime abord, paraître comme une invitation au conflit. Pourtant, elle ne décrit absolument pas une confrontation entre individus, mais plutôt le combat intérieur qui se joue dans le cœur de chacun.
Le Sûtra du Lotus décrit de manière allégorique l’enseignement que le Bouddha a exposé durant les huit dernières années de sa vie, dans lequel il livra l’intégralité de son illumination.1 Dans le 11e chapitre, une magnifique “Tour aux trésors” émerge de terre devant l’assemblée des disciples. Ses dimensions sont vertigineuses, elle est ornée de sept sortes de joyaux et richement décorée. Que représente donc cette tour fabuleuse ?

Kumarajiva était un moine indien du IVe siècle. S'entraînant sérieusement dans sa jeunesse, il développa une force intérieure qui lui permit, malgré des conditions adverses, de réaliser une œuvre immense et de devenir le plus grand traducteur de textes bouddhiques en chinois.
Par Hiroshi Kanno. Extraits traduits de l'essai The Practice of Bodhisattva Never Disparaging in the Lotus Sutra and its Reception in China and Japan, paru dans Journal of oriental studies, vol. 12, 2002.

Son nom est synonyme d'une vie consacrée à la lutte contre l'apartheid et pour les droits civiques en Afrique du Sud. Aujourd'hui encore, son exemple et ses mots nous encouragent à dépasser nos limites et triompher de l'adversité.
Cet ouvrage d'initiation au bouddhisme, qui a connu un grand succès aux États-Unis, indique la manière la plus moderne, la plus efficace et la plus pratique pour réaliser ce que l'on appelle illumination ou « état de bouddha »...
Le bouddhisme enseigne que toutes les vies sont reliées les unes aux autres. C’est le principe bouddhique d’“origine interdépendante”, ou “production conditionnée”, selon lequel aucun phénomène n’existe isolément des autres. Le terme japonais pour le désigner est engi, qui signifie littéralement “apparaître en relation”.

“Route de la soie”, des mots qui font rêver à de longues caravanes traversant les déserts, chargées de tissus précieux, d'épices, d’or et de pierreries... Par cette route, le bouddhisme s’est diffusé de l'Inde jusqu'en Chine, puis d'un côté vers l'Occident et de l'autre jusqu'au Japon.

Dans la série « Chérir nos liens » réalisée par la SGI. Nidhi Oza vit à Mumbai, en Inde. Elle raconte comment elle s'est tournée vers l'enseignement afin de permettre aux enfants de prendre confiance en eux à travers la danse.
« Les ténèbres de notre époque sont insondables. (...) En faisant pénétrer la lumière dans les sombres recoins de l'être humain, nous désirions trouver le moyen permettant de transformer la nuit de la “civilisation matérielle” en une aurore de la “civilisation spirituelle”. »1
Alors que l’humanité est prise dans un engrenage de problèmes globaux et complexes, la possibilité d’une issue favorable semble de plus en plus difficile à croire.
Le bouddhisme, parce qu'il répond aux quatre souffrances fondamentales de l'être humain, est un enseignement universel et transhistorique. Il semble toutefois particulièrement à propos dans notre monde contemporain. La preuve en est l'écho toujours grandissant qu'il rencontre dans nos sociétés depuis les années soixante.
Nous sommes responsables de notre destinée et influons sur celle de l’humanité. L’avenir de tous dépend de ce que chacun décide aujourd’hui.