Lettre du comité jeunesse du mouvement Soka

Le bouddhisme de Nichiren Daishonin est source d’un espoir infini, qui nous guide vers un monde plus juste et plus humain pour une paix mondiale durable.

Avec une confiance et un espoir immenses en la jeunesse, le 16 mars 1958, le président Toda a réuni les jeunes pratiquants du Japon, afin de confier à cette génération de successeurs la mission de poursuivre le développement du kosen rufu mondial. À qui a-t-il confié plus particulièrement cette mission ? À son jeune disciple Daisaku Ikeda. En en prenant l’entière responsabilité, ce dernier a pu réaliser le vœu de son maître, même au-delà. Comprendre profondément l’esprit du maître et le traduire en action est le rôle du disciple.

Nous sommes nous-mêmes la force motrice pour éradiquer le sentiment de désespoir profondément enraciné dans notre vie et transmettre l’espoir autour de nous.

Nous pouvons lire dans les enseignements du Bouddha : « Si vous voulez comprendre les causes créées par le passé, observez les résultats qui se manifestent dans le présent. Et, si vous voulez comprendre les résultats qui se manifesteront à l’avenir, observez les causes créées dans le présent. »1

Les graines que nous semons pour la réalisation de kosen rufu ne peuvent que fleurir. La persévérance dans nos actions est nécessaire et, surtout, c’est cette confiance dans nos Daimoku qui est décisive. Le moment venu, les graines fleuriront, et nous pourrons même en être surpris. Gardons confiance en cela. Nos actions humanistes ont toute leur place dans le monde d’aujourd’hui. En ayant à cœur de répondre au vœu de Sensei, créons un solide réseau de personnes de valeur actives pour kosen rufu.

Finalement, ce qui importe le plus est que chaque personne crée le bonheur et la victoire dans sa vie, en transformant son karma en mission et en développant ses qualités humaines. L’héritage de notre maître est immense mais cela ne doit pas nous intimider. Tout ne dépend, désormais, que de nous ! Quelle attention puisje accorder à chaque personne, à la jeune génération ? Comment puis-je les inspirer ? De quelle manière les chérir ?

Perpétuons les valeurs incarnées par notre maître bouddhique, dans la société, à travers des rencontres de personne à personne, pour créer les fondations solides d’une paix durable, de la même manière qu’une goutte d’eau forme l’océan, car « ceux qui font un grand serment sont forts. Un serment est la source d’une force inébranlable, qui nous permet de vivre joyeusement et avec une grande confiance. »2


Notes

  • 1. Sur l’ouverture des yeux, Écrits, 283.
  • 2. Extrait de la série « La citadelle éternelle du mouvement Soka ». Texte non publié en français.
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