Réflexions

Mon année chez Spinoza

L'envie d'ouvrir du « nouveau » dans sa vie a conduit Maïté, sous la houlette d'une philosophe érudite et passionnée, dans le pays de Spinoza, philosophe hollandais du XVIIe siècle. Durant la lecture de l'Éthique1, son oeuvre principale, elle n'a cessé d'être surprise par la proximité de cette pensée avec le bouddhisme. Chapitre après chapitre, elle en a relevé les points essentiels.

Le bien ne va pas sans mal

Personne n’échappe à la question du « bien » et du « mal», car nous devons constamment faire des choix, prendre des décisions et nous avons besoin de fils conducteurs. Le bouddhisme, dont la sagesse unit ces deux notions en apparence opposées, nous donne des éléments de réponse.

Relever les défis

Le bouddhisme promet bonheur authentique en ce monde et dans les vies futures. Mais combien de défis, et lesquels, avant de transformer « un coeur assombri par les illusions en clair miroir qui reflète l'éveil », comme nous y enjoint Nichiren Daishonin ?

 
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